LE FORUM DES MEMBRES DU VILLAGE

Par pure curiosité, est-ce que quelqu'un connaîtrait la définition légale du devoir conjugal ?

Le Code Civil pose des obligations dans le mariage.

La violation de ces obligations peut servir de fondement à un divorce pour faute maintenu dans la nouvelle Loi.

Il n'y a pas de "devoir conjugal".

C'était l'expression courante employée pour exprimer la sexualité dans le couple !

Cette expression date un peu !

Quels sont alors les critères permettant de déterminer la fréquence requise pour que l'on puisse attribuer au couple uni par les liens du mariage d'avoir une vie sexuelle et de devoir conjugual ???



JSM, nous vous écoutons

Je ne suis pas Docteur en sexualité conjugale !

Si le refus de relations intimes peut être considéré comme une faute dans le mariage, le Juge ne va pas jusqu'à fixer la fréquence de telles relations !

De l'abstinence qui serait soudainement imposée à l'activité débordante en tous temps et en tous lieux, il y a une marge dans laquelle s'emplace sûrement ce que l'on appelait communément à tort "le devoir conjugal" !

Je ne suis pas Docteur en sexualité conjugale !

Si le refus de relations intimes peut être considéré comme une faute dans le mariage, le Juge ne va pas jusqu'à fixer la fréquence de telles relations !

De l'abstinence qui serait soudainement imposée à l'activité débordante en tous temps et en tous lieux, il y a une marge dans laquelle s'emplace sûrement ce que l'on appelait communément à tort "le devoir conjugal" !

Quelle déception nous qui pensions que le "S" avait justement une conotation ....

Cela dit il apparait logique que qui dit Droit dise Devoir ... Mais serait-ce bien raisonnable que de définir la fréquence minale de la chose ? Quoique pour certains cekla présenterait une certaine garantie, une assurance en quelque sorte ...

Désolé de vous décevoir, LITO !

Ceci dit, la question était très sérieuse.

On a souvent entendu que certains ou certaines ne remplissaient pas leur devoir conjugal !

Ceux ou celles qui s'en plaignaient ne concevaient pas que l'époux ou l'épouse puisse refuser leurs avances au nom de ce fameux devoir conjugal !

Ils mettaient ainsi sur le même plan, le devoir de secours (aide ou assistance), le devoir de fidélité et ce fameux "devoir conjugal" !

Cette notion a été colportée principalement par certains hommes qui ne supportaient pas qu'on puisse leur dire "NON" !

C'étaient d'ailleurs souvent les mêmes qui reprochaient à leurs femmes de ne pas bien faire la cuisine et de ne pas bien faire le ménage !

Il était prévisible que cette vision machiste des choses allait se heurter à la nécessaire et salutaire lutte des femmes pour leur dignité.

Je ne suis pas Docteur en sexualité conjugale !

Si le refus de relations intimes peut être considéré comme une faute dans le mariage, le Juge ne va pas jusqu'à fixer la fréquence de telles relations !

De l'abstinence qui serait soudainement imposée à l'activité débordante en tous temps et en tous lieux, il y a une marge dans laquelle s'emplace sûrement ce que l'on appelait communément à tort "le devoir conjugal" !

Moi qui souhaitais prendre appui sur vos connaissances et vos compétences pour donner une vie sexuelle à ..... de Cholet qui ne veut pas jouer avec les dames

Plus sérieusement, quid du cas de force majeur d'une femme ou d'un mari qui, suite à une opération médicale n'a plus aucune libido ? Pourrait on pour autant considérer que le mariage n'est pas valide pour autant ? Difficile même chose du fait de la ménopause.

Je vois par contre mal un avocat plaîder devant le juge l'argument suivant : Monsieur le juge mon client souhaite le divorce car sa femme a très souvent des migraines ce qui prive mon client de jouir de relations intimes.

Réponse du juge, si à chaque fois que ma femme avais la migraine j'étais amené à demander le divorce, aucun mariage ne serait dès lors valide, vu la pandémie de migraines qui sévit ces dernières décénnies à l'arrivée de la saison des championnats de football et tout au long de l'année la précédent