LE FORUM DES MEMBRES DU VILLAGE

Bonjour,
je suis publiciste et
j'hésite à m'inscrire à l'IEJ de Toulouse ou de Paris 1, je voudrais par conséquent savoir lequel vaut-il mieux lorsqu'on choisit des matières publicistes. je me dis que celui de Paris 1 accepte + de monde quoique cela est peut être à nuancer au vu de la réforme de l'EFB (d'ailleurs où ça en est?) OR à Toulouse, il me semble qu'il y a plus de parcours privatiste qui tentent le barreau, ce qui laisserait plus de chances aux publicistes…?
Qu'en pensez vous?
Un publiciste pourrait-il m'aiguiller?
Merci

Bonjour
Je ne comprends pas très bien votre question. L'IEJ ne fait que vous préparer au CRFPA, dont les matières sont, sauf erreur, identiques d'un endroit à un autre. De toute façon, vous n'avez pas énormément de choix, il vous faut passer par un IEJ, qui vous préparera tant bien que mal à passer l'entrée à l'école d'avocats, sans, me semble-t-il, grande différence entre publicistes et privatistes.
Bon courage.
MEEM

D'accord.
Ce que j'essaie de dire c'est qu'à Paris 1 le concours de l'EFB accepte plus de monde : à peu près 40% voire plus
alors qu'à Toulouse ça tourne autour de 25% , par conséquent j'ai dû mal à me décider mais je me demandais si le fait d'être publiciste pour le concours (notamment à Toulouse car il y en a moins) ne serait-il pas un atout du fait que les gens prennent moins des matières publicistes ou justement les publicistes sont plus sévèrement notés du fait qu'il y en a moins besoin que des avocats affairistes…

Il me paraît évident que vous avez plus de chances d'avoir l'entrée au crpfa à Paris qu'à Toulouse.
Le taux le plus important est Paris V de mémoire.
Les matières à l'entrée sont les mêmes partout et je ne crois pas qu'il y ait de différence entre les différents centres.

D'accord.
Ce que j'essaie de dire c'est qu'à Paris 1 le concours de l'EFB accepte plus de monde : à peu près 40% voire plus
alors qu'à Toulouse ça tourne autour de 25% , par conséquent j'ai dû mal à me décider mais je me demandais si le fait d'être publiciste pour le concours (notamment à Toulouse car il y en a moins) ne serait-il pas un atout du fait que les gens prennent moins des matières publicistes ou justement les publicistes sont plus sévèrement notés du fait qu'il y en a moins besoin que des avocats affairistes…

Pas simple comme question, en réalité. J'ai été dans le même cas que vous, avec une thèse en cours au moment de passer le CRFPA. J'ai planté la CRFPA, je suis donc monté sur la passerelle pour les docteurs. Mais je mets plus mon échec sur le compte d'un esprit déjà modifié par la pratique professionnelle, qui s'accommode assez peu des exercices imposés au CRFPA.
Disons qu'en étant publiciste, vous avez déjà le choix de matières qui se fait rapidement.

Pour compléter aiki, Paris XIII (Villetaneuse) a aussi d'excellents taux de réussite et ensuite, tout le monde s'en moque à l'EFB. Combine assez classique des étudiants de Paris I et II. Fonctionne avec Paris V (administrativement dans le ressort de la CA de Paris alors que les bâtiments sont à Malakoff, CA de Versailles mais l'EFB s'est elle aussi compromise dans ce ressort).