Bienvenue sur le Village de la Justice.
Le 1er site de la communauté du droit, certifié 3e site Pro en France: Avocats, juristes, fiscalistes, notaires, commissaires de Justice, magistrats, RH, paralegals, étudiants... y trouvent services, informations, contacts et peuvent échanger et recruter. *
Aujourd'hui: 154 760 membres, 25899 articles, 126 982 messages sur les forums, 3 900 annonces d'emploi et stage... et 1 600 000 visites du site par mois en moyenne. *
FOCUS SUR...
• Petit lexique des nouveaux métiers du droit.
• Lancement du Chatbot IA de recherche avancée du Village de la justice.
LES HABITANTS
Membres
Nouvelles parutions
Guide de la négociation contractuelle
Un guide essentiel pour formaliser un accord juridiquement efficace
Printemps digital chez LexisNexis !
Fonds de commerce 2023 - Ce qu’il faut savoir
Des réponses concrètes aux différentes problématiques juridiques posées par les fonds de commerce
Sélection Liberalis du week-end : Reflets du Japon au Musée Cernuschi.
Une nouvelle sélection d’artistes par Liberalis et la galerie en ligne Target Art.
La chaîne "Vidéos et droit" du Village de la justice:
[Podcast] CEDH, les avancées de la justice climatique.
Bonjour,
Tout d’abord merci pour tous ces détails et tout ce temps consacré à nous aider à nous y retrouver.
J’aimerais savoir si vous avez une rubrique concernant les salariés en déplacement professionnel à l’étranger sous l’état d’urgence ? Car je n’ai pas trouvé de réponse à ma question.
Je travaille dans un pays d’Asie avec un contrat français donc couvert par des indemnités repas et logement. On m’a imposé les 6 jours ouvrables de congés payés la dernière semaine de mai. Et ensuite, on m’a imposé mes repos compensateurs pour les 2 premières semaines de juin. A noter que j’ai eu des quelques jours travaillés ces 3 semaines citées et ces jours travaillés ont été régularisés. Or malheureusement, durant ces 3 semaines tous mes paniers repas ont été supprimé (sauf les jours travaillés), cela représente 40% de mes indemnités. Est-ce normal ?
Je ne vous cache pas que je suis dépité et que je négocie avec ma hiérarchie pour les récupérer et que si je n’ai pas gain de cause, je rentrerai en France. Mais je ne voudrais pas en arriver là car je ne sais non plus si je serai dans mon droit de demander à rentrer.