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Cet article oublie un point important : les animaux de compagnie. Pour ceux-là aussi, les vétérinaires font le choix de ne pas délivrer d’ordonnance. Je suis pharmacien et une de mes vétérinaires a eu le toupet de me caser ses produits lors d’une consultation. Et pour ma part, je ressens très bien, et je peux deviner en parlant avec certains clients le biais dans la délivrance que peut donner le double statut. Les conséquences se retrouvent aussi dans le prix : dans la mesure où on prescrit et délivre, le client n’a pas le temps, ni le loisir de comparer, ce que l’on fait de plus en plus souvent pour les médicaments humains. Le lobby conduit aussi à ce que certains médicaments soient sur ordonnance en France, et en vente libre à l’étranger, cela se voit sur les boîtes.
En résumé, le point essentiel, c’est qu’il n’y a aucune protection des consommateurs dans ce secteur, si ce n’est le bouche à oreille. La raison en est (comme pour la TVA à 20 %) que l’on considère que si les gens payent pour leurs animaux, c’est qu’ils en ont les moyens, et donc tant mieux si c’est au prix fort, c’est bien pour le PIB. Mais les riches ont rarement plus d’animaux que les grand-mères au minimum de retraite.