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Bonjour,
En tant que justiciable -comme certains aiment à nous appeler- mais surtout formée au droit et exercant en entreprise privée depuis plus de 20 ans, je suis surprise par certaines réponses à l’article d’Agnès TAVEL.
Peu importe le courant, la médiation porte un sujet qui nous intéresse tous à quelque niveau que ce soit.
Lorsqu’un conflit surgit, quel droit traite l’émotionnel des personnes né du conflit qui les opposent ?
Aucun !
Posez-vous cette simple question : combien connaissez-vous de personnes (j’aurais pu élargir le champ) qui, même si la justice leur a donné raison, ne sont pas apaisées, restent sur leur conflit ?
Personnellement beaucoup.
Un processus structuré de médiation qui aurait pour finalité de purger l’émotionnel du conflit est salutaire et attendu.
Pour ma part, je ne le trouve en rien concurrent à la justice, il ne traite pas la même partie du conflit.
Si l’on s’interroge sur le bénéfice de la médiation dans les conflits qui peuvent nous opposer à nos clients, à nos fournisseurs, à nos salariés, on ne peut qu’être partisan de ce que préconise la chambre syndicale de la médiation professionnelle.
Pour anticiper toutes réponses, je suis en cours de formation à l’EPMN et ne me sent nullement sous l’emprise de Jean-Louis LASCOUX et de son équipe. Je reste libre de mes jugements.
Dans ce contexte, vous l’aurez compris, je vote POUR le droit à la médiation
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